Groupe GIEE de la cuma des volontaires
Ce séchoir certifié Certipaq bio et mis en route en 2018 est porté et développé par la Cuma des volontaires. Un collectif de cinq agriculteurs adhére et participe activement à l’activité séchoir.
Les objectifs sont :
- Sécher une grande diversité de produits ( fourrages,céréales, biomasse…)
- Garantir la traçabilité des produits séchés et reconditionnés
La chaîne de récolte est réalisée intégralement par le groupe avec mutualisation des tâches. Une personne est en charge de la fauche, une autre du fanage…
Ces cinq agriculteurs font également partis d’un collectif plus large porté par sept exploitations adhérentes de la cuma via un GIEE. Cet entité permet à ces dernières d’avancer sur l’autonomie alimentaire et sur les techniques culturales simplifiées.
- Le séchoir en vidéo
- Plaquette de présentation du séchoir
- Témoignage du président
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Au travers de cette vidéo vous retrouverez :
- Une présentation du groupe et du projet
- Une description du séchoir et de son fonctionnement
- Des éléments sur l’organisation collective autour de ce séchoir (gestion de la récolte et du séchoir)
- Des infos sur les matériels de récolte utilisés
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Une plaquette technique pour découcrir le séchoir du groupe.
Fiche technique réalisée par le Segrafo
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Témoignage du président de la cuma des Volontaires
« A la CUMA des Volontaires (44), on est en pleine transition vers l’autonomie fourragère. Pour l’atteindre, cinq adhérents ont décidé d’investir dans un séchoir en grange et une presse communs, inaugurés en juin 2019. Samuel Retière, président de la CUMA, témoigne. »
Groupe AEP/GIEE de la cuma la Fourragère
Ce collectif regroupe 15 exploitations représentant plus de 20 agriculteurs directement impliqués dans le projet et engagés dans la démarche de réflexion et d’expérimentation, au sein de la Cuma la fourragère qui compte une soixantaine d’adhérents. Il est lauréat de l’appel à projets pour une Agriculture Ecologiquement Performante (AEP) du conseil régional de Bretagne 2015 et a été labellisé GIEE en août 2015. Le projet a effectivement démarré en octobre 2015.
L’objectif est de trouver collectivement des solutions pour améliorer leur autonomie protéique et azotée :
– Augmenter les surfaces en légumineuses fourragères et protéagineux dans les assolements
– Réduire ou remplacer les concentrés azotés dans les rations par des aliments riches en protéines produits localement (luzerne, méteils, etc.) et une gestion optimisée des pâturages.
Le groupe a suivi de nombreuses formations et visites en 2016. En 2017 des expérimentations (introduction de légumineuses fourragères ou de méteils) et un protocole de suivi ont été mis en place.
Le séchage des fourrages est également travaillé par le groupe suite à l’ouverture d’un séchoir adossé à un méthaniseur depuis le printemps 2017.
- Récit d'expérience
- Zoom méthaniseur
- Zoom enrubanneuse
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Au travers de cette fiche vous retrouverez :
- Une présentation du groupe et du projet
- Une chronologie de l’histoire du groupe et les détails de sa trajectoire
- Les atouts et les limites de cette expérience
- Des conseils pour d’autres groupes ou pour des animateurs de collectifs
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Kuhn FBP 3135 – Le saut dans le combiné presse enrubanneuse sans filet a séduit – Entraid’
« La cuma La Fourragère (35) a osé essayer le combiné d’enrubannage FBP 3135 à liage plastique avec un modèle de pré série. Les utilisateurs s’en montrent satisfaits et constatent une bonne conservation de l’herbe et de la luzerne qu’ils stockent ainsi dans des balles qui se tiennent convenablement. »
Projet Is’eau
Projet de développement des surfaces en luzerne via une filière locale entre des agriculteurs (majoritairement en système blé-betterave-colza) et un éleveur sur un bassin d’alimentation de captage. Projet porté par des agriculteurs membres de l’association Terre de Picardie et soutenus par l’Agence de l’eau : contractualisation entre des agriculteurs (12 exploitations pour le moment) qui cultivent de la luzerne et 1 éleveur qui la récolte sur pied (contre lisier et digestat) et la fait sécher grâce à la chaleur résiduelle de son méthaniseur.
- Récit d'expérience
- Poster de présentation
- Site internet
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Au travers de cette fiche vous retrouverez :
- Une présentation du groupe et du projet
- Une chronologie de l’histoire du groupe et les détails de sa trajectoire
- Les atouts et les limites de cette expérience
- Des conseils pour d’autres groupes ou pour des animateurs de collectifs
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Cuma Verteillacoise
L’outil de séchage de la cuma Verteillacoise est en service depuis le printemps 2017, sur la commune de Bertic-Burée en Dordogne.
Neuf adhérents situés à moins de 15 km de l’outil sèchent de la luzerne avec un séchoir double flux. C’est l’unique investissement de la cuma, la prestation de
récolte, mise au séchoir et entreposage des bottes étant réalisé par une ETA voisine. La commercialisation du fourrage est à la charge de chaque adhérent.
- Fiche descriptive
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Au travers de cette fiche vous retrouverez :
- Une présentation du groupe et du projet
- Une présentation du contexte agricole local
- Le détail de la démarche collective
- Des retours d’expérience
Grasasa
Créée en 1968, la coopérative Grasasa s’est construite autour de la déshydratation des fourrages, valorisant le bois comme source d’énergie depuis 1979. La valorisation des produits issus de la déshydratation a une vocation principalement commerciale aujourd’hui (commercialisation notamment dans le sud-ouest).
Ces dernières années, le groupe s’oriente vers un développement d’outils « locaux » de séchage, en capacité de traiter une production de 100 à 200 ha. Un premier séchoir en bottes a été mis en place en 2012.
- Fiche descriptive
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Au travers de cette fiche vous retrouverez :
- Une présentation du groupe et du projet
- Une présentation du contexte agricole local
- Le détail de la démarche collective
- Des retours d’expérience
DéshyOuest
Le cœur de métier de Déshyouest est d’offrir une prestation de déshydratation de fourrages de qualité et au meilleur prix à ses adhérents. Déshyouest est née en
décembre 2016, de la fusion de deux coopératives de déshydratation : Coopedom (35) et Codema (53). Au fil du temps, ces coopératives ont diversifié leurs activités à la fois sur l’alimentation animale et sur la production d’agrocombustibles.
Coopedom déshydrate 43 000 à 47 000 tonnes de fourrages chaque année et 5 000 tonnes de granulés de bois. Codema fabrique 30 000 tonnes de produits séchés par an et vise désormais les 40 000 tonnes par an grâce à son séchoir à biomasse inauguré en juin 2016. Les deux coopératives travaillent en lien étroit depuis plusieurs années sur la partie commerciale et ont fusionné en décembre 2016 au sein de Déshyouest. L’objectif est d’optimiser les outils industriels via une meilleure saturation des séchoirs. Déshyouest compte également développer le conseil (choix variétaux, désherbage ou suivi de cultures) en mettant en place un technicien par secteur.
Déshyouest encourage aussi le développement de la culture des légumineuses fourragères par des groupes satellites en périphérie de son territoire, comme Désia 44.
- Fiche descriptive
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- Une présentation du contexte agricole local
- Le détail de la démarche collective
- Des retours d’expérience
Luzerne de Bresse
A environ 25 km au nord de Bourg en Bresse dans l’Ain (01), des agriculteurs se sont groupés en Cuma depuis 2011 afin de gérer une unité collective de séchage de fourrages (luzerne pure, mélanges prairiaux).
L’idée a émergé suite à l’initiative d’un producteur de porcs cherchant à valoriser l’eau chaude issue de son unité de méthanisation et qui avait contacté pour cela un éleveur de chèvres à proximité, réfléchissant depuis de longues années à installer une unité de séchage de fourrages. La Chambre d’agriculture, qui assurait un travail de développement de la culture de luzerne auprès des éleveurs laitiers engagés dans la récente AOC locale Beurre et Crème de Bresse, a plutôt proposé de réfléchir à une unité collective de séchage de fourrages. Celle-ci a vu le jour en 2013 et se situe dans la commune de Lescheroux à moins de 300m de l’unité de méthanisation.
La particularité de cet équipement est qu’il mêle un projet de séchage collectif à un projet individuel d’unité de méthanisation à la ferme. Il privilégie les circuits courts (la luzerne cultivée et séchée est consommée localement), tout en utilisant des énergies vertes.
- Fiche descriptive
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- Le détail de la démarche collective
- Des retours d’expérience
Cuma Elgarrekin
Depuis l’été 2012, un sous-groupe d’agriculteurs adhérents de la Cuma Elgarrekin dans le Pays Basque travaille à la mise en place d’une unité collective de
séchage en grange. L’enjeu pour ces éleveurs ovins est d’améliorer la situation technico-économique et l’autonomie alimentaire des exploitations, la pérennité de
la filière AOP Ossau-Iraty avec un meilleur ancrage dans le territoire, ainsi que l’entraide et l’emploi salarié au sein de la Cuma.
Différentes dimensions ont été travaillées par le groupe depuis mi-2012 :
- visites d’expériences et études de faisabilité pour
concevoir l’équipement de séchage le plus adapté aux
besoins du groupe, - diagnostics d’exploitation et expérimentations afin
d’évaluer les fourrages à développer et les parcelles
les plus adaptées, - réflexions sur les conduites d’élevage en vue de
mieux valoriser les futurs fourrages de qualité par les
systèmes d’élevage.
- Fiche descriptive
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Au travers de cette fiche vous retrouverez :
- Une présentation du groupe et du projet
- Une présentation du contexte agricole local
- Le détail de la démarche collective
- Des retours d’expérience
Caps et Marais d’Opale
Le projet de ce collectif vise à développer l’autonomie protéique et alimentaire des élevages.
Le groupe s’intéresse en particulier au séchage des fourrages : une étude a été réalisée en 2018 dans l’objectif d’analyser la faisabilité de séchoirs individuels ou d’un séchoir collectif.
Des formations et des tours de plaine sont également organisés.
- Récit d'expérience
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Au travers de cette fiche vous retrouverez :
- Une présentation du groupe et du projet
- Une chronologie de l’histoire du groupe et les détails de sa trajectoire
- Les atouts et les limites de cette expérience
- Des conseils pour d’autres groupes ou pour des animateurs de collectifs
Cuma de Pollionnay
Projet né d’un appel de la collectivité qui voulait préserver une agriculture autour de Lyon et d’une idée d’un adhérent. 14 fermes d’éleveurs ayant fortement développé l’autonomie fourragère ont souhaité aller plus loin en 2012. Motivés à travailler ensemble !
Au-delà de la chaîne de récolte adaptée aux légumineuses fourragères dont disposait la cuma, le groupe s’intéresse actuellement à la création d’un atelier collectif de séchage en grange.
L’objectif est d’introduire de la luzerne ou des mélanges multi-espèces (en substitution du maïs irrigué) et d’améliorer la qualité du fourrage (rumination et protéine) mais aussi d’acheter moins de soja, de limiter l’érosion des sols (acides) et l’ensilage de maïs (acidose pour les animaux) . La surface de récolte envisagée est de 120 ha pour un potentiel de 800 T séchées.
Une étude de faisabilité est actuellement en cours. Des formations et la mise en place de micro-essais (pour tester les plantes et variétés les plus adaptées) sont également prévues.
- Récit d'expérience
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Au travers de cette fiche vous retrouverez :
- Une présentation du groupe et du projet
- Une chronologie de l’histoire du groupe et les détails de sa trajectoire
- Les atouts et les limites de cette expérience
- Des conseils pour d’autres groupes ou pour des animateurs de collectifs
Pour localiser les groupes, consulter la carte ici.