Le séchage des fourrages permets, entre autres, une réduction du temps de séchage et une amélioration de la leur qualité. Pour certains, le séchoir permet de diversifier son chiffre d’affaire.
S’organiser collectivement améliore la rentabilité économique d’un projet de séchage et permet de gagner en cohérence sur le territoire - plus d’infos ici
Séchoir en grange, en bottes, en vrac ou même en bande, plusieurs choix possibles. Pour le choisir, il est important de fixer l’ambition et les objectifs du groupe, en amont et de manière participative.
Il faut ensuite tenir compte de l’environnement existant (un méthaniseur avec de la chaleur à valoriser sur le territoire ?). Enfin c’est au tour des questions opérationnelles (y aura-t-il de la vente et donc du conditionnement ?).
Retrouver des références sur les différents types de séchoirs et des éléments méthodologiques pour choisir celui qui vous convient ici.
Deux possibilités : un investissement porté par un seul individu ou par une structure coopérative.
Avantages, inconvénients, exemples de groupes Luz’co pour ces deux solutions à consulter ici.
Un ordre simplifié de réflexion concernant la vérification de la rentabilité d’un investissement collectif de séchage est disponible ici.
Il s’agit d’un procédé de conservation permis par le séchage rapide du fourrage vert à l’aide d’un courant d’air réchauffé par une source de chaleur artificielle. Plus d’infos ici.
Monter un séchoir en groupe n’est pas toujours chose aisée. Bien dimensionner le projet, être accompagné, optimiser le travail collectif… Ici vous retrouverez les leviers à actionner et les facteurs d’échec à éviter !
