- Pourquoi mettre en place des échanges entre éleveurs et céréaliers ?
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- Concilier avantages agronomiques et économiques (exemple : débouchés luzerne pour les céréaliers)
- Améliorer la structure et fertilité des sols en valorisant la matière organique et diversifier les assolements et rotations (céréaliers)
- Améliorer l’autonomie en alimentation animale et éliminer les excédents structurels (éleveurs)
- Limiter les fuites (nitrates, produits phytos vers la nappe)
- Affouragement de meilleure qualité (éleveurs)
- Sécuriser l’affouragement : assurer aux exploitations une protection face à la variabilité des prix sur le marché (éleveurs)
- Efficience alimentaire (gain de productivité, réduction des coûts de production, intérêt zootechnique et santé des animaux). Les légumineuses fourragères sont un levier pour produire plus en quantité et qualité. (éleveurs)
- Recréer du lien social et de l’entraide entre ces deux productions
- Pourquoi s’organiser collectivement (à une plus grande échelle que des échanges de pair à pair) ?
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- Sécuriser des systèmes face aux cours des marchés (avoir un foin de bon rapport qualité/prix)
- Mieux équilibrer les offres des céréaliers et les demandes des éleveurs en anticipant les quantités nécessaires et les périodes de travaux
- Adapter les moyens logistiques : optimiser le transport et le stockage, en déterminant les points les moins saturés par exemple, débloquant ainsi des possibilités supplémentaires (pour pouvoir développer des échanges plus importants)
- Assurer les transactions sur des règles, des contrats négociés en commun
Témoignages
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