GIE de l’Esparcet
Le GIE de l’Esparcet est un groupement d’intérêt économique de 21 éleveurs ovins et caprins du Larzac et du Nord de l’Aveyron, soumis aux aléas de la
sécheresse. Il a pour objectif de sécuriser l’approvisionnement en fourrages biologiques afin d’atteindre l’autonomie protéique.
Ce GIE a contractualisé avec 5 propriétaires fonciers de l’Aude pour cultiver en sainfoin une quarantaine d’hectares d’anciennes friches viticoles dans le Minervois. Sur ces terres, le GIE met en culture et récolte une production fourragère biologique pour une durée de 4 ans (sainfoin). Par ailleurs, le GIE achète des fourrages sur pied (une soixantaine d’hectares de luzerne et de sainfoin) à des producteurs biologiques du Minervois en complément.
Concrètement, quelques éleveurs se déplacent dans l’Aude avec du matériel de récolte et de transport une fois par an pour réaliser la première coupe de fourrages. Ils utilisent également les services d’une CUMA et d’une ETA du Minervois pour le reste du matériel nécessaire aux travaux.
- Fiche descriptive
- Vidéo
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Au travers de cette fiche vous retrouverez :
- Une présentation du groupe et du projet
- Une présentation du contexte agricole local
- Le détail de la démarche collective
- Des retours d’expérience
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SeCoPPA
Le groupe SeCoPPA est constitué de 35 exploitations, dont un groupe de travail restreint de 11 agriculteurs : 6 céréaliers sur le secteur de Falaise et 5 éleveurs, situés dans le Pays d’Auge (Cambremer, les Monceaux, Castillon en Auge, Gonneville, Honfleur). Cela implique également plusieurs CUMA : la Cuma de Sassy, la Cuma des Vallons du Douet, la Cuma de Castillon en Auge, la Cuma de la Motte ainsi que des haras.
Le projet est parti d’un constat lors d’un comité du Calvados au sein de la fédération CUMA, en juin 2016 :
- les céréaliers manquent de matière organique, les
éleveurs en ont trop ; - les céréaliers doivent allonger leurs rotations culturales mais n’ont pas toujours les débouchés pour vendre leur production tandis que les éleveurs veulent
sécuriser leur stock de fourrage.
Une contractualisation entre les éleveurs et les céréaliers est donc envisagée, afin d’échanger du fumier contre de la luzerne séchée.
- Récit d'expérience
- Article
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Au travers de cette fiche vous retrouverez :
- Une présentation du groupe et du projet
- Une chronologie de l’histoire du groupe et les détails de sa trajectoire
- Les atouts et les limites de cette expérience
- Des conseils pour d’autres groupes ou pour des animateurs de collectifs
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Luzerne 14
Création d’une filière territoriale luzerne via un dispositif d’échanges ou la création d’un séchoir valorisant la chaleur fatale d’une usine.
- Récit d'expérience
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- Les atouts et les limites de cette expérience
- Des conseils pour d’autres groupes ou pour des animateurs de collectifs
Groupe bio du Perche
L’objectif est de développer la production de luzerne sur le Perche via des échanges entres producteurs et consommateurs (éleveurs).
Création d’une filière territoriale luzerne via un dispositif d’échanges ou la création d’un séchoir valorisant la chaleur fatale d’une usine.
- Récit d'expérience
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Projet Is’eau
Projet de développement des surfaces en luzerne via une filière locale entre des agriculteurs (majoritairement en système blé-betterave-colza) et un éleveur sur un bassin d’alimentation de captage. Projet porté par des agriculteurs membres de l’association Terre de Picardie et soutenus par l’Agence de l’eau : contractualisation entre des agriculteurs (12 exploitations pour le moment) qui cultivent de la luzerne et 1 éleveur qui la récolte sur pied (contre lisier et digestat) et la fait sécher grâce à la chaleur résiduelle de son méthaniseur.
- Récit d'expérience
- Poster de présentation
- Site internet
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Luzernons Ensemble
Projet de filière de luzerne locale entre céréaliers et éleveurs qui concerne une quarantaine d’exploitations :
– 10 exploitations céréalières situées dans l’est lyonnais (dont 8 membres du Geda de l’Ozon), qui s’interrogent sur les alternatives à la monoculture
– Une trentaine d’exploitations d’élevage (bovin lait en majorité), situées dans les monts du lyonnais et dans le beaujolais vert et qui pointent des besoins réguliers en fourrages
Mise en place d’un suivi technique à la fois pour les céréaliers (maîtrise de la culture) et pour les éleveurs (intégration dans la ration).
Les premières réflexions ont démarré en 2013. Un projet de séchage collectif a d’abord été envisagé puis abandonné suite à des freins trop nombreux. Ce premier projet avorté a permis de démontrer l’intérêt pour les céréaliers et les éleveurs du Rhône à travailler ensemble. Ils ont donc cherché un système plus simple à mettre en place et se sont réorientés vers l’enrubannage.
- Récit d'expérience
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- Une présentation du groupe et du projet
- Une chronologie de l’histoire du groupe et les détails de sa trajectoire
- Les atouts et les limites de cette expérience
- Des conseils pour d’autres groupes ou pour des animateurs de collectifs
Pour localiser les groupes, consulter la carte ici.