Je m'appuie sur des solutions collectives

Nos dossiers

  • Récolter en collectif

    (4 chapitres)

    [lore_feature title="Vidéo introductive" icon="fab fa-youtube"]

    • Eclairage vidéo sur la récolte en collectif de Véronique Lucas, sociologue et agroécologue, ici

    [/lore_feature]

  • Echanger en collectif

    (4 chapitres)

    [lore_feature title="Vidéo introductive" icon="fab fa-youtube"]

    • Eclairage vidéo sur la mise en place d’échanges en collectif de Véronique Lucas, sociologue et agroécologue, ici

    [/lore_feature]

  • Sécher en collectif

    (5 chapitres)

    [lore_feature title="Vidéo introductive" icon="fab fa-youtube"]

    • Eclairage vidéo sur le séchage collectif de Véronique Lucas, sociologue et agroécologue, ici

    [/lore_feature]

  • Progresser en collectif

    (4 chapitres)

    [lore_feature title="Vidéo introductive" icon="fab fa-youtube"]

    • Eclairage vidéo sur l’expérimentation et la progression en collectif f de Véronique Lucas, sociologue et agroécologue, ici

    [/lore_feature]


Un collectif, pour quoi faire ?

Les travaux d’étude menés dans CAP VERT* avec les apports des travaux de thèse de Véronique Lucas permettent de repérer deux grands types de configurations collectives sur lesquelles les agriculteurs s’appuient pour développer de nouvelles pratiques :

  • Les coopérations opérationnelles de proximité (ou arrangements de proximité) correspondent à toutes les pratiques de partage, d’échanges et de services mutuels entre différents agriculteurs voisins visant à améliorer la gestion des ressources matérielles et du travail au service de l’activité. La Cuma n’est ainsi qu’un arrangement qui est complété par une multiplicité d’autres plus ou moins formels. Pour partager matériel, travail, salariés, foncier, intrants, bâtiments, les agriculteurs impliqués combinent des outils juridiques variés (GIE, groupement d’employeur, etc.), voire des arrangements plus informels (banque de travail, entraide, échange de semences ou paille-fumier, etc.).
  • Les groupes et réseaux de partage d’expériences et de production de connaissances. S’appuyant principalement sur le partage d’expériences entre pairs, ils existent à différentes échelles : locale (groupe de développement), supra locale (réseaux professionnels thématiques), voire nationale (réseaux de développement agricole).

D’après les travaux de Véronique Lucas, sociologue et doctorante à la FNCUMA, ces dynamiques collectives peuvent alors remplir 5 fonctions pour faciliter la mise en œuvre de ces nouvelles pratiques relatives aux légumineuses fourragères :

  • Répondre aux besoins en équipements adaptés et aux défis logistiques de ces nouvelles pratiques :

  • Accéder aux ressources productives stratégiques

  • Optimiser l’organisation du travail

  • Partager l'expérience et construire de nouvelles connaissances

  • Gérer l'incertitude

CAP VERT : lauréat de l’appel à projets « Innovation et partenariat » 2013 financé par le ministère de l’Agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt via le Compte d'affectation spéciale développement agricole et rural (Casdar), dont les objectifs étaient de :

  • Comprendre les nouvelles formes de coopération entre agriculteurs au service de la transition agroécologique.
  • Produire des ressources pour accompagner leur émergence et leur développement.

plus d'infos sur CAP VERT.


Témoignages

[testimonial_view id="1"]